Le ministère des Mines et de la Géologie ne lâche pas la zone de 76 hectares, appelée « petite mine », et exploitée depuis 2006 par la Société d’étude et de réalisation des phosphates de Matam (SERPM) de l’homme d’affaires, Cheikh Amar.
Après l’arrêté du ministre Omar Sarr et celui du préfet, qui ont été suspendus par la Chambre administrative statuant en matière de référé, les deux parties vont encore rester à l’écoute de la même Chambre administrative qui va, cette fois, examiner le dossier au fond. C’est le 10 août prochain que la haute juridiction va statuer sur l’affaire pour voir s’il faut annuler l’arrêté ou non.
Les Echos