La Cour constitutionnelle a indiqué dans un communiqué avoir «décidé à l’unanimité de ne pas examiner le recours» qui portait sur le refus d’accorder à Pita Limjaroenrat, chef de file du parti réformiste Move Forward (MFP), un second vote au Parlement, après son échec initial.
Le MFP était arrivé largement en tête lors du scrutin du 14 mai, grâce au soutien massif d’une jeunesse avide de changements profonds dans le royaume. Ce refus ouvre la voie à un nouveau vote au Parlement -qui pourrait intervenir vendredi- pour choisir un chef du gouvernement.
Rfi