La sentence tombe malgré les remontrances de la communauté internationale, notamment la CEDEAO.
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Au micro de la télévision publique malienne, le président Ibrahima Boubacar Keita a annoncé sa démission, celle du Gouvernement et de l’Assemblée nationale.
Arrêté en même temps que son Premier ministre, il a été conduit dans le camp militaire de Kati, point de départ de la mutinerie.
IBK a soutenu ne souhaiter qu’aucun sang ne soit versé pour son maintien aux affaires, avant de s’incliner devant la mémoire des victimes des manifestations ayant précédé ce putch.
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