Trois tanganas étaient ouverts au Camp pénal Liberté VI. Les prisonniers pouvaient s’y restaurer moyennant des tarifs prohibitifs. Une partie des recettes, 5000 francs Cfa exactement, étaient versés à la direction de la prison. Tout cela, c’est de l’histoire ancienne selon Les Échos. Guy Marius Sagna a annoncé leur fermeture.
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Le leader du mouvement Frapp «France Dégage» avait lui-même révélé l’existence de ces commerces à Camp pénal. Il indiquait que leur existence faisait que les repas envoyés par les familles des prisonniers n’étaient plus admis dans la prison. L’activiste ajoutait que pour dénoncer la situation, un groupe de détenus avait entamé une grève de la faim.
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