L’enveloppe s’alourdit d’année en année. Les chiffres flamblent de manière vertigineuse et perturbent toute une chaine. De 75 milliards en 2018, la dette aurait franchi la barre des 300 milliards de francs Cfa.
C’est, selon L’Obs, ce que les entreprises de bâtiments et travaux publics (BTP) réclament à l’Etat du Sénégal, leur plus gros client. Pourtant en avril dernier, l’ardoise s’élevait à 200 milliards. Une situation alarmante d’après Diaraf Alassane Ndao, secrétaire général du Syndicat national des travailleurs de la construction (SNTC/BTP).