« Si le policier s’était réellement tiré sur la tempe une balle avec son arme de service marque Taurus, qui est une arme puissante, sa tête aurait à coup sûr explosé. Et aucun individu ne l’aurait reconnu ou identifié à première vue. Car, la balle allait lui traverser la tête et l’impact allait être énorme et dévastateur, avec à la clef du sang à gogo un peu partout au sol. D’autant que tout le monde s’accorde à dire que le tir était à bout portant. »
Les sources du journal Les Echos sont formelles : le policier Sémou Diouf ne se serait tiré une balle dans la tête.
« Comment peut-on se tirer une balle dans la tête et rester encore en vie, malgré la violence du choc avant de mourir trois heures plus tard », se demande-t-on.
Autre fait qui intrigue, c’est que les policiers des Parcelles Assainies ont appris que l’arme de service de leur collègue a aussitôt disparu ou a été enlevée de la scène de crime puis rangée quelque part avant d’être remise aux enquêteurs.
De même, les résultats de l’autopsie n’ont pas été révélés et l’inhumation s’est faite dans la précipitation.